
Serge Fleury a allumé un lampion le 08/11/2020:
"J.ai connu Louise sur la rue fullum au début des années 60.et je l.ai perdu de vue ver 1972.Mais la surprises a été que j.ai reçu une invitation d.elle il y a 4 ans que j.ai accepté... Quel plaisirs j.ai eu d.avoir des nouvelles d.elle et de la famille Laperrière.Merci Louise pour ces souvenirs repose en paix de ton ami Serge ...ou Classel !!! Comme el aimait m.appeler en souvenir de ce temps passé."
Denise Laperriere a allumé un lampion le 08/21/2020:
"Je sais, je sais, j’ai déjà allumé un lampion mais je sais comment tu aimais les chandelles. Alors, comme je ne puis te parler quotidiennement comme avant, j’ai décidé d’allumer un lampion comme on avait fait à Paris.
Aide-moi â te dire au revoir ma Titine"
Serge Wagner a allumé un lampion le 08/16/2020:
"Titine
Louise était tombée dans l’art, assez jeune, dans la beauté, mais une beauté organisée, dans laquelle elle se sentirait bien.
Elle était très exigeante pour elle, les oeuvres qu’elle créait (des peintures jusqu’à la salle de bain ou à son jardin) devaient d’abord la satisfaire, elle. Ensuite, si d’autres appréciaient, c’était tant mieux. Elle laissait discrètement sa marque forte partout, elle créait des oeuvres organisées. En art, comme dans la vie, elle créait des liens qu’elle entretenait.
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La mort est violente. Il est déchirant d’évoquer Louise au passé.
La maladie subite, puis la perte rapide de Louise ont été, pour Mimi, pour moi et pour nos enfants, une surprise totale, puis une douleur immense. Au-delà des mots.
Nous ne nous y attendions pas.
Mimi a connu Louise, la première, bien sûr, elle a « catiné » sa Titine, dès sa naissance.
Lorsque Mimi et moi avons commencé à vivre ensemble, la vie familiale nous avait rassemblés, grâce à Maurice et à Margot.
Les liens se sont distendus après les décès des parents, mais les contacts s’étaient poursuivis, entre autres, par les Jours de l’An, parfois chez nous. Occasions privilégiées pour retrouver aussi Catherine, Marie-Ève et Normand.
Depuis quelques années, les liens étaient redevenus intenses. Des téléphones fréquents, accompagnés de courriels de rajustements.
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Louise. tu aimais la vie, tu aimais l’art, tu adorais l’univers environnant que tu avais créé, tu étais devenue le trait d’union d’une famille dispersée, véritable encyclopédie familiale.
Tes « Hi hi » sonores et écrits nous manqueront jusqu’à notre dernier souffle
Micheline, Serge (et Marie-Soleil, Éloïse et Alexis)
"